Comment encourager un tourisme raisonné, sans voiture individuelle, vers des destinations qui sont compliquées, voire impossibles à rejoindre avec les réseaux de bus ou de trains existants? C’est l’équation, complexe, que s’efforce de résoudre Bus Alpin depuis 2011. «Nous nourrissions également l’ambition de soutenir l’économie de ces régions montagneuses reculées, qui sont souvent très belles mais difficilement accessibles», ajoute Samuel Bernhard, directeur de l’association.

Freeride, rando en raquettes ou à ski, pas question de partir de manière improvisée. On n’affronte pas la montagne en ...