La diversité de Migros en chiffres
Migros est multiple
Avec 97 727 collaboratrices et collaborateurs réparti-es dans plus de 100 entreprises, la diversité vécue est une évidence au sein du groupe Migros. Les chiffres actuels.
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La plus grande offre de places d’apprentissage
Le groupe Migros forme 3700 apprenti-es. Ils et elles sont nombreux à rester dans l’entreprise au terme de leur formation. Nous en avons rencontré cinq.
Début août, 1300 jeunes ont commencé leur vie professionnelle à Migros. Ils effectuent une formation de spécialiste du commerce de détail, de logisticien-ne, de technologue en denrées alimentaires, d’opérateur/opératrice de machines automatisées ou de recycleur/recycleuse. Les 42 entreprises du groupe Migros proposent des postes de formation dans plus de 50 métiers. «Pour nous, la formation professionnelle est cruciale et d’une grande importance», souligne Stefan Gamper, Head Young Talents à Migros. «Nous avons besoin de main-d’œuvre qualifiée dans de nombreux domaines. Surtout le commerce de détail, l’informatique, mais aussi dans les métiers techniques, une relève bien formée est nécessaire.»
Au total, 3700 apprenti-es effectuent leur formation au sein du groupe Migros. Certain-es ont de longues années de service au sein du groupe. Nous en avons rencontré cinq et leur avons demandé pourquoi.
C’est grâce à sa mère que Paul Würms a rejoint le groupe Migros. Elle avait vu une annonce dans un journal indiquant que Bina recherchait des apprenti-es. Le jeune de Suisse centrale s’est rendu à Bischoffszell pour un stage de découverte et, une semaine plus tard, il avait un contrat en poche. Spécialiste des conserves et des surgelés, tel était encore l’intitulé de la formation à l’époque. Aujourd’hui, on dit technologue en denrées alimentaires. Juste après son apprentissage, Paul part faire l’école de recrues. «Cette année et demie de service militaire a été ma seule pause par rapport à Bina.» De retour dans son entreprise de formation, il passe son brevet fédéral de spécialiste en denrées alimentaires et multiplie les expériences dans différents secteurs. Aujourd’hui, il est gestionnaire de production et coordonne la fabrication des boissons, soupes, sauces et chips. «Bina a investi en permanence dans de nouveaux produits, ce qui est vraiment passionnant.» Et selon lui, il faut aussi mentionner les aspects positifs que sont la culture collégiale de l’entreprise et les prestations sociales offertes. «Je n’ai donc pas vraiment été tenté de chercher un emploi dans une autre entreprise.» Néanmoins, l’heure de la séparation approche. À la fin de l’année, Paul Würms partira en retraite anticipée.
(Depuis 45 ans chez Bina, Bischoffszell)
«Rien ne tombe tout cuit dans le bec, il ne faut donc jamais se reposer sur ses lauriers et se former sans relâche.»
Mickaël Rapin n’est pas du genre à se décourager. Lorsque son maître de fin d’école obligatoire lui dit qu’il peut prétendre à mieux qu’un apprentissage, le jeune Fribourgeois ne se laisse pas démonter. «Au contraire, ses paroles m’ont motivé. Je voulais montrer qu’on peut aussi faire carrière quand on commence en bas de l’échelle.»
Après son apprentissage de logisticien chez ELSA à Estavayer (FR), Mickaël Rapin part pendant un an au centre de distribution de Migros Suisse orientale, à Gossau (SG), où il parfait son allemand. Il obtient ensuite une maîtrise fédérale en logistique. «Pendant 4 ans, j’ai étudié tous les mercredis soirs et les samedis, en plus de mon travail quotidien. Mes journées étaient bien remplies, mais je n’avais qu’un seul but: avoir plus de responsabilités chez ELSA et me prouver que j’en étais capable.» Aujourd’hui, Mickaël Rapin est responsable du commissionnement et gère une équipe de 70 personnes qui s’occupent de la préparation des commandes et du stockage. Il est également le bras droit du directeur Logistique et Distribution. «Je suis fier du chemin parcouru. Je dois aussi une partie de ma réussite à la culture d’entreprise qui règne ici. Les gens sont extrêmement disponibles pour transmettre les connaissances et j’ai pu avoir des responsabilités rapidement. C’est ce qui m’a toujours motivé.»
(Depuis 14 ans chez ELSA-Mifroma)
«Quand on veut, on peut! On doit prendre son destin à bras-le-corps et prendre conscience qu’on fait une formation d’abord pour soi.»
Irena Obradovic a déjà passé la moitié de sa vie à travailler pour Denner. Il y a 14 ans, elle a entamé un apprentissage de spécialiste du commerce de détail dans la filiale de Migros. Aujourd’hui, cette femme de 30 ans dirige un magasin. «J’ai consulté le site Internet de Denner pour voir si des places d’apprentissage étaient vacantes, et un poste s’est présenté à Wattwil», se souvient-elle. Elle explique qu’elle a toujours aimé travailler avec les denrées alimentaires et le contact de la clientèle. Certes, elle devait faire deux heures de trajet quotidien pour se rendre dans l’entreprise de formation. «Mais le plus important pour moi, c’était de pouvoir effectuer une formation de 3 ans pour décrocher le brevet fédéral.» Elle est reconnaissante pour toutes les chances qui lui ont été offertes. Après sa formation, elle a été assistante de la gérante du magasin, puis brièvement adjointe avant de passer aux commandes, à 24 ans seulement. Dans son magasin de St-Gall, elle dirige 10 collaborateurs et une apprentie. «Denner encourage les jeunes. L’entreprise identifie leur potentiel et leur fait confiance. Je trouve cela super.» Malgré cette progression rapide, elle est loin d’avoir atteint ses limites. Aujourd’hui, elle forme aussi des collaborateurs aux nouveaux concepts de magasins. «À chaque fois que je me suis dit que je pouvais évoluer, Denner m’a fait une offre.»
(Depuis 14 ans chez Denner)
«Chacun a sa propre carrière entre ses mains. Si on ne compte pas ses efforts et qu’on montre de l’intérêt, les portes s’ouvrent.»
Avant de commencer son apprentissage de spécialiste du commerce de détail à 22 ans chez Migros, Jérôme Mercet avait travaillé chez une fiduciaire, fait un stage de puériculteur dans une crèche et obtenu un diplôme de steward. «J’ai reçu récemment une offre d’emploi de Swiss, que j’ai déclinée. On peut certes voyager aux quatre coins du monde, mais quand j’ai comparé les conditions de travail, j’ai vite réalisé qu’il n’y a pas de meilleur endroit que Migros.» Le Genevois ne regrette pas sa décision. «Si on montre à son supérieur qu’on est motivé et qu’on veut se perfectionner, de nombreuses options sont possibles pour faire carrière.»
À l’issue de sa formation, Jérôme Mercet reçoit une offre de poste permanent comme vendeur au rayon alimentaire et demande s’il peut suivre une formation de responsable administratif. Migros lui répond par l’affirmative. «Je suis responsable du service clientèle et des caisses du magasin et gère une équipe de 10 caissières. Au début, c’était un peu compliqué de donner des instructions étant donné que mes collaboratrices sont presque toutes plus âgées et que je devais faire preuve d’autorité. Mais je me suis vite rendu compte qu’on trouve toujours le ton adapté si on commence par écouter.»
(Depuis 6 ans à Migros Genève)
«Il faut donner le meilleur de soi-même. En retour, Migros offre de nombreuses possibilités d’évolution.»
En tant que logisticien, Marco Fluri veille en coulisses à ce que les magasins Migros soient régulièrement approvisionnés. À 24 ans, il est responsable Entrée des marchandises au centre de distribution Migros de Neuendorf SA, la plaque tournante pour les textiles, les surgelés, les produits de lessive, les cosmétiques, le papier toilette et de nombreux autres articles non alimentaires. «Dès le stage de découverte, j’ai été enthousiasmé par la diversité de la logistique.» Ce secteur offre aussi de nombreuses possibilités de continuer à se former. Après son apprentissage, Marco Fluri est passé dans le secteur Entrée des marchandises, d’abord comme contrôleur, puis comme polyvalent. Son brevet fédéral de spécialiste en logistique en poche l’été dernier, il a été promu à l’automne. «Migros m’a toujours soutenu dans tous les domaines. J’ai été stimulé et encouragé.» Et d’ajouter que les prestations sociales aussi sont excellentes. Ce que l’avenir lui réserve, il ne le sait pas encore concrètement. «Je me sens très bien à Migros et je suis super heureux de faire partie de mon équipe.» Et comme un grand projet a été lancé dans le centre de distribution, il a pu prendre de nouvelles fonctions. «Je vais aussi pouvoir évoluer sur le plan personnel, c’est une école de la vie.»
(Depuis 9 ans au centre de distribution Migros de Neuendorf)
«Toujours se donner à fond. Mais ne pas se laisser déstabiliser quand un problème surgit. Même les grands champions ont appris de leurs défaites!»
Le groupe Migros est le premier employeur privé de Suisse. La palette des métiers est exceptionnellement large et proportionnelle à la diversité des secteurs et des fonctions. Bon nombre d’offres intéressantes vous attendent sur notre portail des carrières.
Que ce soit au bureau, dans un magasin ou dans un laboratoire, notre monde du travail est varié. Tout comme les personnes qui l’occupent. Découvre leurs histoires.